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Sébastien Hoëltzener
Né le 30.06.1974. Vit et travaille (entre autres) à Saint-Pierre-des-Corps. Jeunesse faite de déplacements, surtout en Outre-mer (Martinique, Guyane). Puis quelques autres déplacements hors de France. Écoles d’art ; Reims, Fort-de-France, Tours. Fixation en Région Centre Val-de-Loire. Plâtre des pommes de terre à partir de 2003 et poursuit parfois de les exposer (2021...). En 2006, résidence « À partir de trois c’est la foule », avec Nicols Royer, Xavier Drong, au Parc-Saint-Léger, Centre d’art de Pougues-les-Eaux, suivi d’autres expériences d’expositions avec ce centre d’art (2007, 2009). Galeriste, pour montrer des artistes : Identité Remarquable, à Orléans (2009-2015) ; Artboretum, lieu d’art contemporain à Argenton-sur-Creuse (sous la direction de Jacques Victor Giraud, 2010-2011). Obtient la réalisation d’une sculpture monumentale à Saint-Paterne-Racan (sur le parc de stationnement de l’entreprise ASP technologies, en 2008, par le biais de l’association Mode d’Emploi). Est soutenu, avec Pierre Feller, par la DRAC Centre pour « Cher Thésée, » un parcours de sculptures dans les vestiges Romains des Mazelles, à Thésée-sur-Cher (2014). Est soutenu, avec Pierre Feller, par la Région Centre pour l’exposition « Les Pièges » (Artboretum, Argenton-sur-Creuse, 2015). Est soutenu, avec Fred Guzda, par la DRAC et la Région Centre Val-de-Loire, pour la réalisation de « Faire (et) Voir », travail élaboré en résidence à l’Antre-peaux de Bourges et montré à la galerie Duchamp de l’EMBAC, Châteauroux (2022), puis à la Chapelle Sainte Anne, à La Riche (2023). Résidence et exposition « Parmi les figures absentes » avec Frédéric Froument à Domagkateliers de Munich en partenariat avec les ateliers de la Morinerie (2024). Artiste associé au Laboratoire Ligérien de Linguistique en collaboration avec Nina Rendulic (depuis 2023). Poursuit de travailler sur plusieurs projets de différentes natures, seul, en duos, en groupes.
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Né le 30.06.1974. Vit et travaille (entre autres) à Saint-Pierre-des-Corps. Jeunesse faite de déplacements, surtout en Outre-mer (Martinique, Guyane). Puis quelques autres déplacements hors de France. Écoles d’art ; Reims, Fort-de-France, Tours. Fixation en Région Centre Val-de-Loire. Plâtre des pommes de terre à partir de 2003 et poursuit parfois de les exposer (2021...). En 2006, résidence « À partir de trois c’est la foule », avec Nicols Royer, Xavier Drong, au Parc-Saint-Léger, Centre d’art de Pougues-les-Eaux, suivi d’autres expériences d’expositions avec ce centre d’art (2007, 2009). Galeriste, pour montrer des artistes : Identité Remarquable, à Orléans (2009-2015) ; Artboretum, lieu d’art contemporain à Argenton-sur-Creuse (sous la direction de Jacques Victor Giraud, 2010-2011). Obtient la réalisation d’une sculpture monumentale à Saint-Paterne-Racan (sur le parc de stationnement de l’entreprise ASP technologies, en 2008, par le biais de l’association Mode d’Emploi). Est soutenu, avec Pierre Feller, par la DRAC Centre pour « Cher Thésée, » un parcours de sculptures dans les vestiges Romains des Mazelles, à Thésée-sur-Cher (2014). Est soutenu, avec Pierre Feller, par la Région Centre pour l’exposition « Les Pièges » (Artboretum, Argenton-sur-Creuse, 2015). Est soutenu, avec Fred Guzda, par la DRAC et la Région Centre Val-de-Loire, pour la réalisation de « Faire (et) Voir », travail élaboré en résidence à l’Antre-peaux de Bourges et montré à la galerie Duchamp de l’EMBAC, Châteauroux (2022), puis à la Chapelle Sainte Anne, à La Riche (2023). Résidence et exposition « Parmi les figures absentes » avec Frédéric Froument à Domagkateliers de Munich en partenariat avec les ateliers de la Morinerie (2024). Artiste associé au Laboratoire Ligérien de Linguistique en collaboration avec Nina Rendulic (depuis 2023). Poursuit de travailler sur plusieurs projets de différentes natures, seul, en duos, en groupes.
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/Présentation
Mon travail réfère à la sculpture et au jardin en tant que j’utilise la plupart du temps l’espace du lieu pour y disposer des éléments, parmi lesquels on se promène. Les différentes installations, en s’accordant au lieu dans la mesure du possible, sont des adaptations à ce qui est déjà-là, en vue de mieux le montrer. Ceci, pour moi au moins, soulève des questions par redondance à l’égard de ce que je donne à percevoir, du fait des moyens employés. Autre particularité de mon travail, qui peut se rattacher peut-être à la première citée ; je réfléchis, élabore et fabrique la plupart du temps (sans que ce soit systématique) avec quelqu’un d’autre : en duo. C’est une façon de privilégier et de montrer le dialogue comme une forme pouvant produire d’autres formes. Le dialogue surtout est un moment qui informe la langue, qui la produit. Tout le travail que je fais est en fait une question posée sur les moyens de l’expression, au sens d’une recherche des limites, physiques ou plastiques, entre ce qui peut et ce qui ne peut pas se rendre signifiant à l’Autre.
/Sélection d’œuvres